• Avertissements !

    L’Olivier franc par le « Petit Livre Ouvert ».

     

     

    Il existe un rapport profond et intime entre le « Petit Livre Ouvert » qui est la cause heureuse et « l’Olivier franc » qui en est la conséquence heureuse soit, la « Porte étroite »  et le « chemin resserré », c’est-à-dire, le but.

     

     

    Bien plus profond et intime que pourraient l’être un homme et une femme dans un amour sincère, oui, infiniment plus, puisque c’est le Souffle qui crée cette mêlée entre la créature assoiffée et affamée avec Son Être.

     

    Ce Souffle confirme, à ceux qui ont des oreilles pour entendre, l’importance « d’avaler le Petit Livre Ouvert » de la Révélation du Messie « IHVH Sauve » !

     

    Pour que ceux qui ont la prétention de l’aimer ou de le suivre, puissent avoir la possibilité d’être greffés ou entés sur « l’Olivier franc ».

     

    Par la Parole, nous avons vu les difficultés qu’ont éprouvées les 12 envoyés à s’approcher de la Sainteté de la Vérité.

     

    Ils ont compris l’importance de mettre de côté, leur pensée et leur personne pour avancer sur le chemin périlleux, semé d’embûches, étroit et abrupt qui conduit au Temple Spirituel du Royaume.

     

    Le constat amer que nous pouvons dresser est, qu’il n’existe aucune possibilité d’établir une relation ou un parallèle entre leur Foi pure et sans tache avec celle des pseudo-croyants d’aujourd’hui, qui est toujours morte au demeurant !

     

    Le drame des religions, car il faut l’appeler ainsi, est, qu’elles ont calqué, en  apparence seulement, une Parole, un Créateur, un Messie, une foi et une justice sur la Saine et Sainte Vérité qui leur tendait les bras. 

     

    C’est pourquoi, la foi des religieux est une construction humaine, un avoir qui n’est pas l’Être, ils possèdent de la présomption, du virtuel et non la réalité de l’enracinement du Souffle en eux.

     

    Nous pouvons dire que Satan a œuvré d’une façon prodigieuse pour le plus grand malheur de l’humanité et en particulier, des religions.

    Pour ceux qui rejettent effrontément cette Vérité et qui s’affectionnent à l’étude de Romains-11 concernant « les 2 oliviers », cela va être dur pour eux d’argumenter le semblant de Vérité qui découle de leur étude de Romains-11 avec la persistance de leur refus « de la Révélation du Maître ».  

     

    Ils professent une foi factice, ils osent une comparaison avec la Foi éprouvée des 12 envoyés.

     

    Ils sont aussi, libres d’agir ainsi, la liberté de faire ce qui leur plait et qui déplait au Maître à qui, ils rendront bientôt compte.

     

    L’Olivier franc étant le but, il nous faut trouver le moyen qui mène à ce but : cette « Nourriture au temps convenable » pour les derniers temps où nous nous trouvons afin que le Maître puisse prétendre et agréer notre salut.

     

    Que Lui Seul puisse prétendre que nous soyons sur la voie du Salut et non nous-mêmes, car, refuser cette nourriture s’apparente à renier sa Loi (Créateur) et à rejeter Son Sang Salvateur (Messie).

     

    Ce moyen de Salut existe, il est le troisième et dernier sur la liste, les 2 premiers ayant été éprouvés, et malgré tout, ils ont été « pesés légers » dans le cœur des religieux.

     

    Nous voulons parler d’une part, de la reconnaissance et la mise en pratique d’un Créateur et de Sa Parole et de l’autre, d’un Messie et de Son Témoignage.

     

    Le troisième étant le « Sceau du Souffle Saint » qui fait que le Créateur et Son Oint ne font plus qu’un.

     

    Que cette Unité ne fait plus qu’une avec Ses 2 « restes » de rachetés (Juda et Éfraïm) qui finiront par ne faire plus qu’un !

     

    Un éhad qui n’est possible qu’avec la séparation des « brebis d’avec les boucs », des « relationnels d’avec les religieux » selon qu’il est écrit :

    « Que celui qui se sanctifie se sanctifie encore et que celui qui se souille se souille encore » (Rév. 22-11).

     

    Nous allons, à présent, découvrir ensemble cette liaison ou cette relation viscérale et vitale pour le Salut de quiconque croit en « action et en vérité ».

     

    Cette relation intense, vive et indissociable qui existe entre le « Petit Livre Ouvert et l’Olivier franc » est comparable à la Parole et à Son Créateur.

     

    Pour cela, il est impératif de « creuser » et creuser encore, les mots qui forment Sa Parole et en particulier, ceux qui construisent ce dernier Livre inspiré de la Révélation du Messie.

     

    N’oublions pas que c’est le Maître de nos vies qui a disposé ces lettres et ces mots pour former Sa Parole.

     

    Entrons à présent dans la « profondeur » de Sa Parole et découvrons ensemble Son Enseignement, un enseignement qui sera aussi dans Son Royaume de manière perpétuelle.

     

    Trop nombreux sont ceux qui semblent l’oublier !

     

    S’ils ne s’affectionnent pas de Ses Révélations ici-bas, ils vont terriblement s’ennuyer dans le Royaume où leur place ne peut pas se trouver.

     

    Et le Maître ne désire pas avoir dans Son Royaume, des êtres qui ne l’aiment pas, qui n’aiment pas Sa Parole, car il s’agit bien de cela.

     

    Nous savons que la Parole Prophétique nous conduit à « avaler le Petit Livre Ouvert » afin d’accéder au Salut et par conséquent, d’avoir ce privilège de vivre en Sa Présence dans le Royaume Continuel.

     

    Ce Livre, c’est Sa Révélation !

     

    Pour les plus endurcis, rappelons que cette Révélation est un passage obligé pour accéder à la Vie Perpétuelle dans le Royaume selon qu’il est écrit :

    « Révélation de « IHVH Sauve », que le Créateur Élohim lui a donnée pour montrer à Ses serviteurs les choses qui doivent arriver bientôt. »

    Ou encore :

    « C’est ici la persévérance des Saints qui gardent la Parole du Créateur et qui retiennent le Témoignage de « IHVH Sauve » le Messie qui est le Souffle de Prophétie. »

     

     

     

    Retenons « à Ses serviteurs » et « C’est ici », pas de doute, la Volonté du Tout-Puissant et de Son Oint est inscrite dans ce Livre.

     

    Et c’est justement, ce mot « Livre » qui nous interpelle et par conséquent, nous allons le « creuser » dans sa racine, dans son étymologie.

     

    Ce mot, à son origine, vient de 4 définitions, l’une nous oriente vers une « mesure de poids », une autre, signifiant « écrit », puis, « homme libre » et enfin, « âme ou cœur de l’arbre ».

     

    Dans la mesure de poids, nous trouvons l’origine de la « livre », elle-même décomposée de 12 onces soit, le 12ème d’un tout, le chiffre rappelant également l’Alliance du Créateur avec Ses fidèles serviteurs, par exemple, les 12 envoyés et les 12 tribus.

     

    Nous savons également que notre foi et nos œuvres sont pesées sur la « balance » de Sa Justice (Ézéchiel 5-1, Daniel 5 : 25-27, Rév. 6-5).

     

    Nous trouvons dans la même idée, les termes « capacité » (Néhémie 8-2, 2 Cor. 3-5) et « niveau » (Esaïe 28-17, Zach. 4-10), des choses qui viennent de Lui afin d’accepter Ses Messages Prophétiques.

     

    Le Très-Haut invite Ses créatures à « peser » soit, à analyser et retenir toute chose, à « réfléchir mûrement » soit, à penser la parole qui sortira de notre bouche, et à « délibérer », allusion au jugement du Maître où Il donnera à Ses fidèles rachetés le pouvoir de juger les méchants soit, 3 termes issus de la trame étymologique du mot « livre ».

     

    L’homme libre est un homme par définition et selon le Maître, affranchi de tout péché, de tout fardeau.

     

    Il est de nature « relationnel » envers Celui qui tient la vie dans Sa Main, il est débarrassé de toute religion, de tout poids, de toute doctrine humaine, de toute racine amère, libre de suivre le Messie partout où Il va (Rév. 14-4).

    Il devient ainsi une « maison » inhabitée où Son Créateur peut, à loisir, le visiter, le compromis et les préjugés ont disparu, le champ a été défriché, ainsi, le Maître peut l’ensemencer.

     

    Dans la définition, il y a aussi la notion de « peuple » dans son unité, et « d’assemblées d’hommes libres » ainsi que la nature de « l’enfant ».

     

    La Parole est le Livre et le Livre est la Parole, le Créateur, notre Adon, livre une partie de la définition de Son Caractère, le Souffle perpétuera cette chose chez la créature qui aura, préalablement, « avalé Son Livre ».

     

    Nous venons de découvrir en synthèse 3 des 4 caractéristiques étymologiques du mot « livre », la quatrième va avoir une saveur particulière.

     

    Il est évident que sans le Souffle, nous ne pouvons pas comprendre la portée intense que Celui-ci veut nous faire pénétrer, et, il existe des milliards d’études possibles sous Son Regard, cela dépend de notre désir d’en savoir plus encore !

     

    Nous avons vu précédemment que le terme de « livre » vient de « liber », en cherchant, nous avons pu découvrir que l’écorce de l’arbre était, autrefois, un support pour écrire de la même façon que la pierre (Exode 28-10, 31-18, 32-15, 34-28) ou, à même la terre (Jean 8-6), enfin, sur le cœur de Ses Rachetés (Prov. 3-3, Jérémie 31-33, 2 Cor. 3-2).

     

    Il existe, en Vérité, une interdépendance entre le « Livre », le « liber » et le « scion », des choses que nous allons creuser afin d’accomplir le Volonté du Maître et être gravés dans le « Livre de Vie ».

     

    Le « liber » qui est la racine du mot « livre » est la pellicule sous l’écorce de l’arbre qui sert de bouclier contre toutes les maladies, c’est un tissu végétal.

     

    C’est à partir de cet endroit, que l’on creuse jusqu’à l’aubier soit, « l’âme ou le cœur de l’arbre » pour amorcer une greffe selon l’explication suivante !

     

    Cette pellicule qui sépare le cœur de l’arbre de l’écorce fait penser à la séparation de l’âme et de la chair ou bien encore et surtout, à la séparation des 2 eaux, celle d’En-Haut de celle d’en-bas.

     

    Il y a très longtemps, les hommes écrivaient sur des morceaux d’écorces qu’ils transportaient sur des ânes ou des chameaux.

     

    Ils cassaient la première couche de l’écorce qui servait de support pour inscrire  ou graver un témoignage, une recommandation, une loi.

     

    Bien avant le papyrus, ils écrivaient ou gravaient ainsi sur du bois, dans les temps anciens, on écrivait même sur le « liber » du tilleul.

    Des hommes, des scribes, des écrivains, des poètes ont déposé des témoignages gravés sur du bois.

     

    Une idée qui vient de la pensée du Créateur, bien avant notre création, selon qu’il est écrit : « Je mettrai Ma Loi au-dedans d’eux, Je L’écrirai ou Je La graverai dans leurs cœurs ; et Je serai leur Élohim, et ils seront Mon Peuple » (Jér. 31-33).

     

    Aujourd’hui, les arboriculteurs ont diverses méthodes pour greffer ou enter des pousses sur des arbres.

     

    Dans les temps anciens, la méthode consistait, à l’endroit où des bourgeons sortaient du milieu de l’écorce en crevant les tuniques légères soit, le dit « liber » ou pellicule très fine, pour faire dans le nœud même, une entaille étroite (Porte étroite et Olivier franc = le Messie par Son Père adoptif), où l’on y introduisait une pousse prise sur un arbre étranger (olivier sauvage).

     

    Puis, on apprenait à ce rejeton à se développer dans le « liber » humide soit, une image de la rosée du Souffle sur Sa Fidèle Créature.

     

    Le « liber » est l'une des trois enveloppes qui forment l'écorce des arbres, la plus proche du cœur de l’arbre appelée également : l'aubier.

     

    D’ailleurs, il est intéressant de constater que le terme « aubier » vient de « blanc » soit, la « Pureté du Cœur » même de notre Créateur.

     

    C’est la partie de l’arbre « tendre et blanchâtre » qui se situe entre le « cambium » (changement) et le duramen (Bois parfait).

     

    L’aubier est la partie vivante du bois (Élohim le Créateur).

    Situé immédiatement sous l’écorce, il est gorgé de sève (Sang de « IHVH sauve » le Messie).

     

    On l’appelle parfois à tort seconde écorce ou écorce interne.

     

    La coupe d’un tronc d’arbre rappelle étrangement l’Organisation du Tout-Puissant qui est effective dans Son Royaume ou qui l’a été dans le Temple hébraïque terrestre.

     

    7 composants entrent dans la description quand on fait la coupe d’un arbre : le cœur ou moelle, les cernes de croissance, le duramen ou Bois parfait, l’aubier, le cambium, le liber et l’écorce.

     

    Tiens, tiens ! Le chiffre « 7 », celui de la Plénitude du Souffle Saint !

    Un hasard qui se nomme « Élohim » !

     

    Nous allons faire l’explication suivante en prenant en parallèle la croissance d’un tronc d’arbre dans sa composition, avec la croissance ou maturité spirituelle du « véritable serviteur » selon la Volonté du Très-Haut :

     

    Le « cœur » ou Moelle, est Son Trône et Celui de Son Oint, les « cernes » de croissance sont les « 24 vieillards » ou « 12 envoyés et 12 tribus » répartis tout autour, le « duramen » ou Bois parfait, lieu du rassemblement des « 144000 ».

     

    Puis, est disposé « l’aubier » soit le principe de Vie du Créateur : la Pureté (blanc) du Sang (sève) par l’obéissance (tendre-malléable) du Messie « IHVH Sauve », c'est-à-dire, le « Houkat authentique ».

     

    Toujours du centre vers l’extérieur, nous trouvons le « cambium », qui exprime le « changement » ou Sanctification, en l’occurrence ici, celui du caractère à l’image du Messie « IHVH Sauve » qui survient ou devient opérationnel juste après avoir « avalé le Petit Livre Ouvert ».

     

    Le « cambium » est à l’origine de la transformation des fibres et des vaisseaux du bois soit, du renouvellement de l’être chez le fidèle, mais aussi, du « liber », tissu dans lequel circule la sève élaborée (sang du Messie) et qui accroît la maturité (spirituelle) de l’arbre soit, du serviteur fidèle.

     

    Ce terme a pour définition étymologique les verbes « changer » et « tourner », soit, changer pour se tourner en Action et en Vérité vers la Vérité Présente soit, le Renouvellement de l’être par le Sang Régénérateur du Témoignage prophétique du Messie par le Souffle.

     

    Une condition à cela : « avaler le « Petit Livre Ouvert » ou Révélation du Messie donnée à l’envoyé « Jean », ce livre écrit par

    Le Tout-Puissant Élohim et mis en œuvre par son Oint « IHVH Sauve » pour Ses serviteurs !

     

    Vient ensuite, le dit « liber » qui est le passeport ou passage obligé pour être sauvé, nous voulons parler de l’action « d’avaler Le petit Livre Ouvert ».

     

    Ceci, afin d’être dirigé vers un changement de nature à l’image du Messie et des « 24 vieillards » et de croître, le tout, baigné dans la purification des purifications, c’est-à-dire, le « Houkat » en Action et en Vérité.

     

     

     

    Le but du « liber », est de rejoindre notre Créateur et Son Oint au cœur du Véritable « Olivier » baigné d’huile soit par le Souffle Saint.

     

    En dehors de Son dessein à l’image de ce dessin, impossible d’être sauvé !

     

    Nous ne parlerons que brièvement du dernier aspect de l’arbre, visible à l’œil, et qui est « l’écorce » soit, la chair ou apparence extérieure qui sied au monde de Satan mais pas aux rachetés !

     

    Ce qui veut dire que le « Petit Livre Ouvert » doit être avalé par le croyant pratiquant afin qu’il soit vêtu de « vêtements blancs » à l’image du « liber », et non pas se trouver nu à cause du péché contre le Souffle Saint qui est consécutif au rejet de Ses Révélations, de ce « Petit Livre Ouvert » !

     

    Ceci rappelle l’étude de l’époque de Sardes ou encore, celle de Philadelphie où est mentionné, le « reste » victorieux par la foi, par l’Amour de la Vérité, revêtu du « vêtement blanc » = l’équation suivante : Liber + Aubier = Cœur du Père ».

     

    Dans la leçon que le Maître donne dans le Livre de Romains-11, et qui doit être précédée par « l’avalement » du « Petit Livre Ouvert » est, qu’il ne faut pas se tromper soi-même, qu’il ne faut pas « mettre la charrue avant les bœufs ».

    Car la Parole ne trompe personne, mais le croyant est trompé par le fait même qu’il ne s’éprouve pas et surtout, n’éprouve pas le Souffle pour savoir s’il est en accord avec Lui et par conséquent, avec Sa Parole.  

     

    Le Maître prend l’image d’un olivier soit, un arbre gorgé d’huile soit, dans le code prophétique, un homme qui porte le Souffle en lui.

     

    Mais en premier lieu, nous devons voir et surtout comprendre que l’Olivier Franc ou « Bel Olivier » symbolise le Créateur Tout-Puissant.

     

    C’est Lui qui Oint de Son Souffle, les créatures qui Lui appartiennent, et si elles Lui appartiennent, c’est qu’elles sont fixées solidement sur cet Olivier (Rév 1-1, 12-17).

     

    D’où le rôle joué par l’aubier (IHVH Sauve), la partie nourricière de l’arbre qui est dans le cœur (Père), le sanctifié nourri par le « Livre avalé » est le « scion » ou « rejeton » qui est l’image du Messie sur l’Autel d’Or et du racheté greffé sur l’olivier franc une bonne fois pour toutes, à savoir, admis dans le Royaume Perpétuel du Maître.

     

    Sur la terre et dans la réalité, c’est le bois d’arbre qui produit le papier et donc, le principal ingrédient pour élaborer un livre.

     

    Dans l’image « l’Arbre » étant Élohim, Son « Bois » est, quant à lui, le Messie « IHVH Sauve », qui s’est donné en Sacrifice afin d’apporter la Vie par Son Témoignage, d’où l’idée de la Sève ou de Son Sang imprimé sur du papier, type et antitype.

     

    La Parole faite chair, le tout formant un Livre de Souvenirs, d’où l’adage :

    « Les paroles s’envolent mais les écrits restent », l’écrit est un synonyme de « livre ».

     

    C’est pour cela que le Maître nous demande « d’avaler le Petit Livre Ouvert », ceci, en rappelant aux « malins », qu’avec Lui, il ne faut pas faire semblant.

     

    Il verra qui est « amoureux » de Sa Parole Prophétique, qui Le sert en Vérité, et qui n’a que faire de Celle-ci et qui ne Le sert pas.

     

    Le Maître sonde les reins et les cœurs, avec Lui aucune chance de Le tromper, donc, dehors les hypocrites, les lâches, les méchants, les adultères spirituels, les destructeurs de la Parole !

     

    À ce propos, rappelons-nous que les reins purifient le sang souillé selon un processus de circuit fermé où ce sang passe d’un état impur à un état pur d’où l’image de la « Ceinture d’Or » (voir étude de la Ceinture d’Or) du Futur Messie : Mikhaél, positionnée sur les reins avant Son Sacrifice Volontaire sur le Bois (Daniel 10-5).

     

    Nous savons que cette Ceinture sera positionnée sur la poitrine à l’endroit du cœur et des 2 poumons (Rév. 1-13), cela, après Sa Victoire sur le péché par Sa mort sur l’Autel d’Or, d’où l’idée, de Sanctification par la Foi, d’où la notion du Créateur et de Son Souffle.

     

    Ceci pour dire que l’aubier (du tilleul), représentant le Principe de Vie par le Sacrifice du Messie, est prescrit ou préconisé pour purifier les reins !

     

    Nous devons, par là, être conforme à ce Livre soit, à Son Œuvre, Sa Volonté !

     

    En avalant ce Livre et son interprétation par toute la Parole Seule, nous marchons dans la conformité de Ses Desseins et devenons des « rejetons » refoulés des arbres étrangers soit, des hommes religieux, c’est « l’amertume du Petit Livre ouvert » et le « Miel » par la présence du Souffle Saint.

     

    La particularité de ces « débris », chassés du monde et des religions, pléonasme volontaire, est qu’ils ont un cœur ouvert à la Vérité Perpétuelle dont la Domination est une Domination qui ne passera jamais. 

     

    C’est là, à la « croisée des chemins », que le Maître de la Vie par Son Oint, les récupère en les transformant en « scion » pour « Sion » la Cité du Messie, en les greffant en Lui.

     

    C’est à ce moment précis « qu’Il soupera avec eux et eux avec Lui », lors du Repas des Noces de l’Époux « IHVH Sauve » le Messie dans le Royaume Perpétuel.

     

    La greffe du rejeton sur l’olivier n’est recevable ou efficace que par l’absorption du « Petit Livre Ouvert » et par la Sève de l’Olivier apportée par le Sang du Messie.

     

    Cette « Sève » apportera soin, nourriture et sécurité au « scion » directement relié à Celui qui le sauve et non aux hommes (Actes 5-29).

     

    Voici encore quelques mots qui résument la condition du véritable serviteur, des mots issus de l’étude étymologique ou racinaire de « livre » ou ce qui en ressort :

    « Affranchi de fardeaux (Rév. 2-24, 14-4), peuple (Lév. 26-12), enfant (Jean 1-12, Mat. 11-25), blessure (Esaïe 30-26), robe ou vêtement (Rév. 6-11, 7-14, 3-4, 4-4), laine de l’Agneau (Esaïe 1-18), affable (2 Tim. 2-24), fin (Rév. 15-6, 19-8, 19-14), spirituel (1 Pierre 2 : 2-5) ».

     

    Pour être concis et sous une forme parabolique, Élohim (l’Olivier) a donné la Vie, aux créatures fidèles des Eaux d’En-Haut et des eaux d’en-bas, par Son Oint (Bois).

     

    Celui-ci s’est mué en humble créature ou « pâte à papier » selon qu’il est écrit :

    « Or,  si les Prémices sont consacrées, la « Pâte » l’est aussi. Et si la Racine est consacrée, les branches le sont aussi. » (Romains 11-16).

     

    Le Messie s’est donné en Sacrifice sur l’Autel (transformation du papier) et a écrit dans Sa Révélation (Petit Livre Ouvert) la Volonté de Son Père Adoptif, notre Élohim, et la Sienne.

     

    Ainsi, ceux qui ont « avalé le Petit Livre Ouvert » (liber), ont reconnu leur Père et Son Oint (Aubier) et se sont tournés (cambium) vers Celui qui les a créés (Cœur).

     

    Ces rejetons devenus « scion » (Sion) sont préservés de toute attaque de Satan par le Sang de l’Agneau, la Sève Salvatrice de l’Arbre et du Bois parfait, nourris d’Huile (Souffle Saint), ils seront dans le Père et le Père sera en eux, greffés sur l’Olivier par Son Bois soit, par Son Oint.

     

    « Ainsi en est-il de ce « Petit Livre Ouvert » qui sort de la Bouche du Tout-Puissant, il ne retournera point à Lui sans effet, sans avoir exécuté Sa Volonté et accompli Ses Desseins » (Esaïe 55-11).

     

    Le Livre retourne au papier, le papier à la Pâte, la Pâte à son Bois, son Bois à Son Olivier : l’Arbre ou l’Olivier, le serviteur fidèle en enfant légitime du Père.

     

    « Ses brebis entendent Sa Voix et elles ne suivront aucun autre maître ».

     

    Ses rachetés, qui ont « avalé le Petit Livre Ouvert », sont à l’image de ces « liber », le Maître les a greffés en Lui et ils sont recouverts du « vêtement blanc » par le Témoignage du Messie « IHVH Sauve » soit, le Souffle de Prophétie.

     

    Le rejeton est le « scion » (liber) à l’état brut, son caractère est façonné par les épreuves (cambium) puis, enté sur le bel Olivier (Élohim) par la Sève Protectrice (IHVH Sauve) qui le sauve de toute attaque et par l’Huile (Le Souffle Saint) qui le nourrit pour le conduire dans le duramen (Bois Parfait).

     

    Le Germe des germes ou Scion des scions est le Messie et les germes ou scions sont ceux qui Le suivent partout où Il va.

     

    Ils sont les « débris » qui n’ont pas leur place sur la terre, leur Maître les transformera en « perle » pure, sans scorie et sans aspérité.

     

    Amis(es) ! Le salut passe obligatoirement par Élohim le Créateur, par le Sang Salvateur du Messie sur l’Autel d’Or et par l’acceptation en théorie et en pratique de Ses Révélations (Daniel et Jean).

     

    Après cela, comment ne pas se réjouir en visitant, en profondeur, ce « Petit Livre Ouvert », comment ne pas tomber amoureux fou de Sa Parole en général et de Son Témoignage Prophétique en particulier ?

     

    Faudrait-il encore mille preuves pour que les incrédules ou religieux puissent continuer à ne pas croire ?

     

    Le but de cette explication est d’inciter les plus récalcitrants d’engager leur volonté, si elle existe encore, à creuser Sa Parole, ce « Petit Livre Ouvert » !

    Mais, la priorité première est de « chercher à s’humilier et d’avoir à cœur de chercher à comprendre », de s’arracher de notre entendement vicié, de notre inertie, de notre certitude à être sauvé, et mettre notre volonté à absorber Sa Volonté (avaler le Petit Livre Ouvert).

     

    Ceux qui s’affectionnent de Romains-11 et qui rejettent, dans le même temps, le Témoignage Prophétique, sont définitivement confondus par cette analyse parabolique donnée par le Souffle.

     

    Il est vrai aussi qu’ils sont incapables d’affection naturelle, comment peuvent-ils aimer, un tant soi peu, les messages prophétiques d’amour que Leur Créateur et Leur Oint leur adressent ?

     

    La crainte est absente des religieux, pourtant, l’appréhension de la mort devrait nous rendre tous et toutes « égaux », au lieu de cela, elle rend les religieux présomptueux et insensibles, pour cela, ils sont tous « égo ».

     

    Pourtant, nous pleurons sur eux, nous sommes préoccupés par leur désintérêt pour la Parole Prophétique, atterrés par leur  manque de zèle.

     

    Tout ceci, parce que Son Amour commence à entrer tout doucement en nous, nous n’avons pas le choix, c’est la trilogie de L’Amour de la Vérité : obéir, souffrir et aimer !

     

    Ils nous trouvent « durs » parce qu’ils ont oublié la crainte qu’ils doivent dans le Nom du Créateur et le Caractère du Messie.

     

    La sensiblerie sature les esprits baignés dans ce « christianisme » au point de confondre la « fermeté » qui demeurent chez les véritables enfants du Maître avec la « dureté » de leur cœur, ils en font ainsi de la projection, accusant les autres de ce qu’ils sont eux-mêmes en réalité.

     

    Alors comment expliquer qu’ils sont au-dessus de la mêlée, qu’ils sont au-dessus de nous, et par quelle Loi devrions-nous être ainsi ?

     

    Par la Loi de l’Humilité !

     

    Cette ébauche est une démonstration du Souffle chez la créature amoureuse de Sa Parole, c’est le résultat extraordinaire d’un travail effacé dans la compréhension de Sa Parole et d’une recherche constante du Témoignage de « IHVH Sauve » le Messie.

     

    À une attente inlassable après le Souffle de Prophétie pour conduire le « vil instrument » qui écrit ces quelques lignes dans un bonheur parfait et sans mélange !

     

    C’est le « Souper » avec le Maître avant l’heure, c’est le « Repas » des Noces du Messie après l’heure, c’est Sa Présence par Son Inspiration !

     

    Que faut-il de plus à un « scion » ? Amen !

     

    N.B = « Car si quelqu’un écoute la Parole et ne la met pas en pratique, il est semblable à un homme qui considère sa face naturelle dans un miroir ; car il s’est considéré lui-même et s’en est allé, et aussitôt il a oublié comment il était. »

    (Jacques 1 : 23-24).

     

    L'orgueil attire le mépris !

     

    Mais,

     

     

    L'humilité produit la Sagesse !

     

    jefraim7@orange.fr